Recherchons physiothérapeute
Recrutement physio 2023
Un grand merci à STX web pour leur travail, leur efficacité et disponibilité.
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Après être passé chez votre médecin où celui-ci vous aura prescrit une ordonnance pour de la physiothérapie, vous pourrez directement prendre rdv auprès de notre secrétariat (021866 6678) pour fixer vos séances avec un physiothérapeute dans un de nos cabinets (Echallens, Mont-sur-Lausanne, Chavornay, Froideville, Cugy, Sullens).
Il est recommandé de venir au cabinet dans une tenue confortable pour être à l’aise dans les mouvements.
Pour la 1ère séance, il est également demandé au patient de prendre sa carte d’assurance maladie, son ordonnance et son numéro de sinistre si c’est un cas accident. Le secrétariat se charge ensuite de facturer directement les séances effectuées auprès de votre assurance.
Une prescription physiothérapeutique varie généralement entre 6 et 9 séances. En tout temps, le physio ou le patient peuvent décider selon les objectifs atteints de stopper les séances. Si les séances n’ont pas contre pas suffit, le patient peut demander à son médecin de lui prescrire à nouveau de la physiothérapie. L’assurance couvre jusqu’à 36 séances pour le même cas dans l’année.
Concernant le déroulement des séances en physiothérapie, celles-ci ont une durée max de 30 minutes.
Lors de la 1ère séance, il y a un bilan de départ comprenant :
– une anamnèse pour comprendre le cas et la cause des symptômes
– une évaluation physique pour confirmer la pathologie et avoir des mesures objectives de départ
– une discussion avec le patient sur les résultats du bilan pour pouvoir élaborer un plan de traitement
– la réalisation d’un plan de traitement avec des objectifs à court, moyen et long terme
La partie “traitement” reste malheureusement courte lors de cette séance.
Par contre, dès la 2e séance le traitement est engagé. Les moyens de traitements du physio peuvent varier en fonction des douleurs et des objectifs fixés avec le patient lors de la 1e séance. Cela peut passer par de la thérapie manuelle, du renforcement musculaire, des étirements, des exercices, des US, des ondes de choc,…
En chaque fin de séance, le physiothérapeute donne quelques exercices à réaliser à domicile afin d’atteindre les objectifs fixés et encourager l’autonomisation et l’auto-prise en charge de son traitement.
Soutenant les futurs professionnels de santé, il est possible que vous soyez pris en charge par un physiothérapeute en formation sous la supervision de la formatrice, toutefois le patient est libre de refuser la prise en charge par une personne en formation.
Au cours du traitement, le physiothérapeute réévalue de manière continue tout au long de la prise en charge.
Les plages horaires étant fixées toutes les 30 min, les retards du patient ne pourront pas être compensés. Les rdv manqués ou excusés moins de 24h à l’avance, seront facturés.
Dans ce cour nous développerons et discuterons les principes de la fascina thérapie et obtiendrons des outils de raisonnement clinique et des clés de traitement.
19 et 20 juin 2021 ( 8h30-12h00, 13h00-17h00)
480.- pour les deux journées de formations.
Au cours de la grossesse, plusieurs modifications physiologiques et hormonales ont lieu. Celles-ci permettent ainsi le développement et la croissance du foetus, à l’adaptation de la mère à l’état gravidique ainsi qu’à la préparation à l’accouchement.
Une augmentation de la laxité ligamentaire, due à une origine hormonale, survient et entraîne par conséquent une hypermobilité des articulations (de 30-70% dans la région pelvienne).
Les conséquences sont donc principalement des douleurs au niveau : lombaires – pelviennes – lombo-pelviennes – hanche/aine/pubis – sciatalgies – genoux/pieds.
Il est de ce fait important de continuer à se mobiliser et de maintenir une musculature forte lors de cette période, afin d’éviter d’aggraver ces douleurs en lien avec la grossesse.
Les recommandations en faveur d’activité physique pour les femmes enceintes sont : au moins 150 minutes d’une activité modérée* par semaine (à répartir sur la semaine), 20-30 minutes par jours, la plupart, voir tous les jours.
*modérée signifie d’être essoufflée mais peut encore parler. Renforcement musculaire 2 fois par semaine (aussi plancher pelvien).
Néanmoins, il est important de parler à son médecin traitant et d’évaluer avec lui les contre-indications relatives ou absolues à certaines activités sportives.
(Exemples de contre-indications absolues à l’activité physique : travail prématuré, rupture des membranes, prééclampsie… Exemples de contre-indications relatives à l’activité physique : hypertension gestationnelle, avortements spontanés récurrents, trouble alimentaire…).
Il faudra néanmoins rester vigilant à certaines choses lors de l’activité physique (AP).
Veillez à : – une hydratation régulière et une alimentation adaptée des vêtements appropriés – adaptation de la durée et de l’intensité pour éviter une hyperthermie et le stress lié à la chaleur (pas plus de 60-90 minutes par session).
A éviter : – les AP avec des contractions musculaires isométriques prolongées – la manœuvre de Valsalva – les AP en position allongée sur le dos à partir de la 24 semaines d’aménorrhée (certaines études disent 20e) – la position debout immobile prolongée – les AP qui peuvent être source de pertes d’équilibre, de chutes ou de traumatismes pour la mère ou le fœtus – conditions hypoxiques, humides, hyperthermiques ou hyperbares.
La physiothérapie reste un bon moyen de soulager les douleurs et de bouger, de manière sécuritaire tout au long de la grossesse, et d’accompagner au mieux la femme dans son nouveau corps de jeune maman.
Le début de saison est un moment crucial, car le risque de blessures est plus important et l’absence d’un joueur en période de championnat peut demander beaucoup de travail d’adaptation pour le staff technique.
Ainsi, Clément chez SPhysical (https://sphysical.ch/) , soutient l’équipe dans ce moment clé. Il est d’une importance primordiale de prévenir les éventuelles blessures et d’éviter l’arrêt forcé d’un membre de l’équipe. Grâce à l’intervention précieuse du physiothérapeute les risques sont diminués et l’équipe peut mettre toutes les chances de son côté vers l’ascension à la victoire.
Le 19 et 20 juin 2021
Myofascial
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Quelle est la façon d’analyser et de comprendre les fonctions de l’être humain ?
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La pose d’une prothèse de genou est une opération qui devient de plus en plus commune. En Suisse, on est passé d’un peu plus de 10 000 prothèses totales de genou (PTG) implantées en 2005 à plus de 15 000 en 2010.
Les prothèses totales de genou se composent de deux pièces métalliques : au niveau du fémur et du tibia, séparées d’un coussinet en plastique qui remplace le cartilage abimé.
Image : Prothèse du genou | Clinique d’Argonay
En règle générale, la pose d’une prothèse totale de genou est envisagée lorsque les méthodes médicales de traitement contre l’arthrose (anti-inflammatoires, chondroprotecteurs, viscosupplémentation) et la physiothérapie n’ont pas réussi à procurer le soulagement escompté. Cette arthrose est généralement la conséquence de l’usure de l’articulation. En rapport généralement avec l’âge et éventuellement à des facteurs familiaux ou génétiques. Les objectifs de cette opération sont de diminuer les douleurs, tout en récupérant une mobilité fonctionnelle afin d’améliorer votre qualité de vie.
Des séances de physiothérapie pré-opératoire peuvent être prescrites afin de maintenir une mobilité maximale et de renforcer votre musculature. Plus votre genou sera mobile et musclé, plus la rééducation post-opératoire sera facilité. En effet, des déficits de mobilité et de force pré-opératoires dureront après la pose d’une PTG.
La rééducation active commence dès le lendemain de l’opération, avec une tendance à démarrer le jour même. La mobilisation passive, longtemps considérée comme essentielle, est de plus en plus abandonnée au profit d’une prise en charge active. La marche débute dès le lendemain de l’opération, en accord avec le chirurgien, avec 2 cannes. Votre physiothérapeute pourra vous apprendre à marcher avec celles-ci, ainsi qu’à monter et descendre les escaliers. Des mobilisations actives du genou, des exercices de renforcement musculaire et de proprioception vous seront proposés. Ils sont essentiels à une reprise de vos activités quotidiennes.
L’opération permet de supprimer les douleurs et de retrouver un maximum de vos capacités physiques. La flexion du genou n’est pas toujours récupérée à 100 %, car la prothèse ne reproduit pas totalement la mécanique d’un genou normal. Cependant, une mobilité fonctionnelle, nécessaire à vos activités quotidiennes, est retrouvée après l’opération. La PTG a une durée de vie de 12 à 20 ans, principalement dépendant de l’usage que la personne en a, et pourra nécessiter une nouvelle intervention après ce temps.
Après une bonne rééducation, notamment au niveau musculaire, la reprise du sport est possible, généralement 3 mois après l’opération. Les sports à faible impact, comme le vélo, la marche, la natation, le ski de fond,… sont recommandés. La pratique régulière d’un sport doux permet de diminuer les douleurs séquellaires de 10 à 30% au cours des deux années qui suivent la chirurgie. Les sports à fort impact comme la course à pied, le foot, le handball, sont souvent déconseillés, en particulier si c’est un sport jamais pratiqué avant l’opération.
Vos objectifs seront discutés avec votre physiothérapeute et une prise en charge adaptée sera mise en place afin d’optimiser votre retour au sport.
https://www.revmed.ch/RMS/2002/RMS-2400/22366